Songe d’une nuit d’été…
C’est une nuit, lors d’un songe, que le visuel de ces abat-jour est apparu à Valérie. Au petit matin elle s’arrête chez le garagiste le plus proche pour lui demander quelques chambres à air. Celui-ci s’interroge mais Valérie lui répond : « Je vous appelle dans la journée pour venir voir ! »
C’est ainsi que Valérie crée le premier abat-jour. Elle entrelace des rubans de velours, d’organza et de satin. L’abat-jour est ensuite gainé par une chambre à air arborant ses stigmates (rustines, marques…) ce qui rend chaque pièce unique. Un surcyclage qui mélange le chic et l’industriel chers à l’identité artistique de Valérie.
Ces abat-jour ont des formes douces colorées, radiantes, telles des vitraux : des douceurs d’intérieur.