5 bonnes raisons de choisir la coopération S’il y a bien une chose qui est essentielle dans notre écosystème de travail : c’est la coopération ! Cette fois, nous vous expliquons pourquoi nous pensons la coopération si indispensable et comment nous la mettons en œuvre au quotidien – ou presque – chez Surcyclum. Coopérer c’est retrouver l’Humain avant tout, et c’est l’essentiel Coopérer c’est…Mettre en commun des connaissances, des compétences pour créer un écosystème de travail où l’on retrouve l’Humain avant tout, c’est essentiel. Et c’est d’ailleurs l’une des valeurs de Surcyclum qui plaît à nos clients !Au Québec, ils diraient que chez Surcyclum, nous aimons “avoir de l’entregent” ! Valérie aime particulièrement cette expression qui signifie “aimer travailler entre gens”. C’est une belle façon de célébrer l’une des plus belles fonctions de l’humain en créant du lien avec d’autres personnes. Coopérer c’est s’enrichir de la différence et découvrir des personnalités Coopérer c’est…La chance d’être entourés de différentes personnalités.L’ébéniste avec lequel nous avons l’habitude de collaborer pour réaliser les lampes bam! se situe sur Cavaillon. Il est un peu philosophe et il aime parler au bois. Il entretient un rapport d’énergie avec sa matière première qu’est le bois… Souvent, nous échangeons sur le sens de la vie ! Un régal… Ce sujet profond est aussi abordé avec nos clients. Lampe Bam! Coopérer c’est entretenir une relation juste Coopérer c’est…Le plaisir de travailler avec des gens qui nous ressemblent. Nous tenons à entretenir une relation juste et plaisante dans nos coopérations professionnelles. Nous ne négocions pas les tarifs des personnes avec lesquelles nous collaborons. Tout est plus facile alors et le résultat est décuplé ! Coopérer c’est travailler en équipe et en confiance Coopérer c’est…Accorder sa confiance et la donner en retour !Coopérer, c’est travailler en confiance de façon responsable et engagée. C’est aimer faire plaisir.C’est aussi une histoire de calculs… 1+1 = 3. Lorsque nous sommes plusieurs à regarder, à vouloir se projeter et aller dans la même direction alors le projet est encore plus beau.Les objets de décorations surcyclés réalisés à plusieurs mains sont souvent synonymes de beaux souvenirs et d’une expérience humaine riche !Chez Bijouseat, (la maison-mère de Surcyclum), 1 ébéniste + 1 couturière + Valérie Martin = 1 joli canapé 8 places réalisé ! Coopérer c’est choisir un travail que l’on aime Coopérer c’est…Permettre aux différents corps de métiers avec lesquels nous travaillons tels que des couturières, des ébénistes, des ferroniers… de les solliciter sur les objets de décoration surcyclés sur lesquels ils souhaitent et préfèrent intervenir.En fonction des accessoires décoratifs surcyclés à réaliser, nous privilégions les uns et les autres pour solliciter leurs excellences dans la joie. C’est très important pour nous. Faire ce que l’on préfère faire dans son activité professionnelle, c’est le Graal quand même ! Coopérer c’est un nouveau modèle de commerce plus riche Coopérer c’est…Une nouvelle façon de faire du commerce pour sortir du modèle industriel.Cet ancien modèle, basé sur de la production de masse, sur la mise en vente grâce à un marketing agressif qui pousse le consommateur à mettre la main à son porte monnaie, nous plait de moins en moins – pour éviter d’écrire qu’on le déteste ! Pochette - Porte monnaie Coopérer est une logique de l’EFC : l’Economie de la Fonctionnalité et de la Coopération. L’EFC est un nouveau modèle de commerce plus riche… dont on vous parlera dans un prochain article Coopérer c’est donner la parole aux clientsCoopérer c’est…Être à l’écoute des besoins et des attentes de nos clients.Nous échangeons avec eux, discutons de leurs goûts, de leurs préférences en matière artistique. Nous apprenons à faire connaissance avec eux pour leur proposer des objets de décoration surcyclés qui leur plaisent vraiment. Cette richesse nous paraît aussi indispensable pour un projet de décoration bien réalisé. Des échanges et un partage de valeurs. Discutons-en ! Navigation de l’article Article précédentPrécédent L’artisanat au service du surcyclageArticle suivantSuivant Rencontres improbables